Le massif du Mont-Blanc est terre d’alpinisme par excellence.
Cet hiver, les Grandes-Jorasses, sommet mythique et culminant à 4 206 mètres a été le théâtre de deux ascensions marquantes.
Le lundi 13 février, la cordée constituée des alpinistes Clovis Paulin, Symon Welfringer et Charles Dubouloz est sortie au sommet de cette montagne après 5 jours d’ascension dans le froid et la glace, signant ainsi la 1re répétition d’une voie nommée la Directissime de la Walker. Un exploit notable puisqu’il s’agit de la première répétition, en libre et en hiver, de cette voie ouverte en juillet 1986 par Patrick Gabarrou et Hervé Bouvard. Avec des températures avoisinant les -25 °C, ils ont gravi à mains nues et en chaussons d’escalade dans cette face, ce que jamais personne n’avait réussi en hiver.
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Quelques heures après, dans cette même montagne, une autre cordée arrivait aussi au sommet, signant un autre exploit. Il s’agit des alpinistes Benjamin Védrines et Léo Billon, qui ont réalisé une première hivernale « à la journée » par la voie Gousseault-Desmaison. Une ascension éclair réalisée depuis la vallée de Chamonix. En 15 heures, ils ont avalé 2 000 m de dénivelé positif en marche et en ski, et 1 200 mètres d’escalade mixte, un record.
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Dans les Écrins, aussi les alpinistes s’en sont donné à cœur joie.
Notamment en direction de la fameuse Barre des Écrins, sommet le plus haut du massif culminant à 4 101 mètres d’altitude.
Une nouvelle voie a été ouverte dans cette face « L’Or en Barre » par Benjamin Védrines, le même alpiniste qui quelques jours plus tard, s’illustrera dans les Grandes-Jorasses. Cette voie a été répétée, en libre et en hiver, quelques jours plus tard par Martin de Truchis et Amaury Fouillade.
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L’anticyclone persistant et les températures fraiches de cet hiver ont aussi permis la formation de nombreuses cascades de glaces dans les Alpes.
Ainsi, ceux que l’on appelle les glaciéristes ont pu chausser crampons et piolets pour aller « taper du glaçon » et ainsi signer des répétitions majeures.
Quelques exploits ont eu lieu en Haute-Savoie, dans le magnifique cirque du Fer à Cheval, connu pour abriter de nombreuses cascades de renoms. En quelques jours a eu lieu des ascensions rares de cascades glacées aux noms poétiques et inquiétants : la Sorcière Blanche et la Massue.
La Belle de Fer, une des dernières cascades d’ampleurs du site a été « ouverte » (gravie pour la première fois), par Nicolas Beauquis et Clovis Paulin.
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Dans le massif de la Chartreuse en Isère aussi.
Sur la Dent de Crolles, bien connue des Grenoblois, une cordée constituée de Symon Welfringer, Morgan Salmon et Nicolas Grandjean, a signé une répétition d’une cascade de glace nommée « La Muse ». Une répétition d’autant plus rare de par l’exposition de la cascade en face sud, ce qui fait que la glace est très rarement en condition pour pouvoir la gravir.
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