Les premières réussites tombent sur le versant népalais du toit du monde. Combien des 414 prétendants étrangers titulaires de permis (pour encore plus de sherpas) parviendront au sommet ce printemps ?
Pour les deux quinquagénaires les plus assidus, c’est déjà dans la poche. À 54 ans, le Népalais Kami Rita Sherpa, qui emmène des clients pour l’agence Seven Summit Treks a avalé ces derniers jours son 30e Everest, améliorant une nouvelle fois son record.
Le recordman étranger est un Haut-Savoyard d’adoption
Quant au guide anglais Kenton Cool, 50 ans, il est toujours l’étranger qui a gravi le plus souvent les 8848 m de l’Everest. Le 12 mai dernier, il s’est offert sa 18e ascension en guidant une expédition occidentale. Cet expert est bien connu en France et particulièrement en Haute-Savoie puisqu’il a eu longtemps pour camp de base Mont-Saxonnex, quand il désertait le sud-ouest de sa Grande Bretagne natale. Et Cool s’est délecté du bon rocher du massif des Bornes.
Mais son rayonnement est bien international puisque le 3 mai 2011, ce fut lui qui, le premier, envoya un tweet de l’Everest connectant un peu plus le monde à son toit.
Kenton Cool est une figure du monde de la montagne. On l’a vu à la télé se faire cuire un œuf à flanc de falaise pour une pub à la gloire d’une marque de cuisines. Un tournage made in 74 aussi puisqu’il eut pour décor vertical la face du Parmelan au-dessus d’Annecy, sous l’œil avisé du chef opérateur et alpiniste Stephan Massis.
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Article issu du Dauphiné Libéré