Quelle est ta piste préférée à Auron ?
C’est le stade d’entraînement du Colombier. Dans mes premiers souvenirs, il y avait un vieux téléski, puis ils ont construit un télésiège plus moderne et aujourd’hui, la station a remis un téléski pour les compétiteurs. C’est là que j’ai connu mes premières petites victoires sur les courses départementales, mes premiers entrainements, mes premières chutes, etc.
Tu as une bonne adresse pour s’arrêter boire un coup ou manger quelque chose sur les pistes ?
J’aime aller au Blanchon, c’est un restaurant sur les pistes très bien exposé et qui est très, très bon. S’il y’a de bonnes frites, c’est que la carte est bonne et là-bas, elles sont excellentes.
En dehors du ski, qu’est-ce qu’on peut faire à Auron ?
Il y a un cinéma et une patinoire, où j’adorais aller quand j’étais petit. Mais on peut aussi faire de la raquette, de la randonnée ou du ski de fond.
Le soir, dans quel bar ou restaurant aimes-tu passer un moment ?
Comme quand j’étais petit, on se retrouve à La Brasserie de l’Endroit sur la place principale, juste à côté du ski-club. A l’époque c’étaient les parents et les coaches qui s’y retrouvaient pendant qu’on faisait les cons sur la place, maintenant j’y vais pour boire un verre avec mes anciens entraineurs ou mes amis.
En résumé, pourquoi ta station est-elle belle ?
Subjectivement, je la trouve belle par rapport à tous les souvenirs que j’y ai. Objectivement, même en connaissant de grandes stations comme Val d’Isère, j’aime toujours ce côté un peu plus tranquille, familial. J’aime aussi le cadre, avec ce grand télésiège qui t’emmène loin de tout. Et puis, sur une belle journée, tu peux skier le matin, manger un bout et, en une heure de voiture, être au bord de la mer. Et ça, c’est « pas dégueu » !