François Civil : « Quand je fais de l’escalade, je ne pense à plus rien »

François Civil est actuellement l’un des acteurs les plus en vue du cinéma français, et l’un des plus populaires. Grâce à des films comme « Le Chant du loup », « Les Trois Mousquetaires » ou encore « BAC Nord », il est devenu en quelques années un acteur incontournable, enchaînant les premiers rôles et surtout les succès.

François Civil. Photo Le DL/Anaïs Mariotti
François Civil. Photo Le DL/Anaïs Mariotti

« Il y a de l’imprévu, du danger, de la peur, de l’accomplissement »

Pourtant, le comédien de 34 ans ne semble pas doté d’une confiance en lui débordante. Bien au contraire. Dans un entretien accordé à nos confrères de Paris Match il y a quelques années, il avouait même avoir été complexé par son physique à l’adolescence. Et que c’est grâce à une discipline qu’il a réussi à surmonter ses complexes et ses inquiétudes : l’escalade.

« Un jour, j’ai essayé l’escalade et je me suis demandé pourquoi je n’avais pas commencé plus tôt […] Il y a de l’imprévu, du danger, de la peur, de l’accomplissement […] Quand je fais de l’escalade, je ne pense à plus rien », confiait-t-il au magazine « GQ ». Depuis, il continue de manière assidue. Lorsqu’il ne tourne pas, François Civil grimpe des blocs ou des sites naturels.

Dans le Luberon et le Verdon

Et parmi les sites qu’il aime, deux se trouvent dans les Alpes du sud, comme il l’a confié il y a quelques mois dans l’émission « En Aparté » sur Canal +… alors qu’il était à deux doigts d’escalader le décor. S’il se rend régulièrement dans la forêt de Fontainebleau (Essonne) pour faire du bloc et où « il y a des murs de trois, quatre, cinq mètres, on met des matelas en-dessous, on n’a pas justement de baudrier, de cordes et de dégaines » ou alors dans les calanques.

La star des « Trois Mousquetaires » aime se rendre dans le Vaucluse, à Buoux exactement. Mais également dans le Verdon (Alpes-de-Haute-Provence) où il y a « une paroi de 300 mètres ». Mais là « on est dans une autre discipline, qui s’appelle la grande voie où on monte, ça peut durer toute la journée avec un partenaire. On va de relais en relais sur 300 mètres ».

Et quand on demande à François Civil ce qu’il aurait pu faire s’il n’avait pas percé dans le cinéma, il affirme qu’il aurait sans doute été grimpeur professionnel.

Article issu du Dauphiné Libéré

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