Quelle est ta piste préférée à La Plagne ?
Quand on était petit, on parlait toujours de la Morbleu, une piste noire jamais damée. Il y avait un mythe autour de ça et c’est celle qui me vient en tête. J’adorais aussi aller sur La Carina, qui est une piste hyper sympa, extrêmement raide, avec des gros sauts. Mais c’est pour les skieurs expérimentés uniquement !
Tu as une bonne adresse pour s’arrêter boire un coup ou manger quelque chose sur les pistes ?
Je vais au Bonnet parce que c’est chez les copains, à la jonction de plein de pistes les gens se rencontrent. C’est à la fois un bar et un restaurant, un peu dans l’esprit de l’après-ski à l’autrichienne. Ça correspond bien à ma conception du ski plaisir. Du côté de Champagny-en-Vanoise, il y a aussi des panoramas sympas dans les différents restaurants d’altitude.
En dehors des sports d’hiver, qu’est-ce qu’on peut faire à La Plagne ?
Tu peux faire du bob et même des randos au crépuscule en motoneige, ce qui est assez exceptionnel. La chance qu’on a à La Plagne, c’est d’avoir énormément d’activités très variées. Concernant la piste olympique de bobsleigh, on a souvent dit qu’elle allait disparaitre et c’est une bonne chose qu’elle soit toujours là. Je l’ai pas mal pratiqué parce qu’on avait fait un an au club de skeleton, avec un ami quand on avait 16 ans, et j’avais adoré.
Est-ce que tu peux nous donner une idée d’itinéraire hors des sentiers battus pour s’éloigner un peu de la station ?
En été, j’adorais partir de la maison de mes parents, à Plagne 1800, et prendre le chemin des arêtes qui monte au mont Jovet, d’où on a un panorama exceptionnel sur la station mais aussi Méribel, Courchevel, le Beaufortain et même la Maurienne. On peut emprunter de beaux sentiers, être peinard en montagne. Je conseille !
En résumé, pourquoi ta station est-elle belle ?
Déjà, parce que c’est ma station ! Forcément, j’y suis attaché vu que j’y ai passé toute mon enfance, avec mes copains là-haut. Le domaine skiable est exceptionnel, avec plein de petits centres, tout le monde peut y trouver ce qu’il cherche, que ce soient de petits hameaux, de grands immeubles ou de petits hôtels.
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