Le début du printemps, si ce n’est pas déjà fait, vous donne envie de sortir votre vélo et de reprendre la route. Une reprise qui doit se faire en douceur mais une fois la forme physique de retour pourquoi ne pas vous lancer des défis en montagne ? Il faut encore patienter un peu, attendre que la neige disparaisse en haute montagne et que les grands cols rouvrent mais après la montagne redevient un magnifique terrain de jeu pour les amateurs de vélo.
Pour vous aider à choisir, entre les Alpes et les Pyrénées, nous avons établi le Top 10 des cols à grimper qui ont le plus de succès sur notre site. Vous retrouverez ci-dessous des ascensions mythiques qui ont fait l’Histoire du Tour de France mais aussi des montées moins connues où la Grande Boucle n’est jamais passée.
1. Le col du Sabot (Isère)
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Le col du Sabot, culminant à 2 100 mètres dans le massif des Grandes Rousses, est le plus haut col de l’Isère. Malgré sa difficulté, avec une ascension de 14,5 km depuis le lac du Verney, un dénivelé positif de 1 283 mètres et une pente moyenne de 8,8 %, il n’a jamais été emprunté par le Tour de France ni le Critérium du Dauphiné. En effet, seule une route carrossable existe sur son versant sud-ouest, en cul-de-sac, rendant son inclusion dans ces courses impossible.
Pour les cyclistes amateurs, le col du Sabot représente un défi majeur, surpassant même des ascensions célèbres comme l’Alpe d’Huez. Le parcours offre des paysages pittoresques, traversant Vaujany et des pâturages alpins, avec une vue panoramique au sommet sur le lac de Grand Maison et le mont Blanc.
2. Le mont Ventoux (Vaucluse)
Le Mont Ventoux, surnommé le « Géant de Provence », culmine à 1 910 mètres et constitue une ascension mythique pour les cyclistes. Offrant un paysage lunaire au sommet, il peut être gravi par trois itinéraires : Bédoin (le plus redoutable), Malaucène (irrégulier) et Sault (le plus accessible).
Chaque parcours présente un défi unique, attirant amateurs et professionnels en quête de performance et de panoramas spectaculaires.
3. Le col de Portet (Hautes-Pyrénées)
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Le col de Portet, culminant à 2 215 mètres, est le plus haut col routier des Pyrénées. Surnommé « le nouveau Tourmalet » par Christian Prudhomme, directeur du Tour de France, il a été intégré au parcours de la Grande Boucle en 2018 lors de l’étape Bagnères-de-Luchon – Saint-Lary-Soulan.
Son ascension de 16 km présente une pente moyenne avoisinant les 9 %, en faisant un défi de taille pour les cyclistes.
4. Le col de la Loze (Savoie)
Le col de la Loze, inauguré en 2019, s’élève à 2 304 mètres dans les Alpes. Son ascension depuis Brides-les-Bains s’étend sur 22,44 km avec une pente moyenne de 7,64 %, totalisant un dénivelé de 1 715 mètres.
Les 7 derniers kilomètres depuis Méribel présentent une pente moyenne de 10 %, avec des passages atteignant 20 %. Cette montée, réservée aux cyclistes, offre un défi comparable aux ascensions les plus redoutées d’Europe.
5. Les lacets de Montvernier (Savoie)
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Les Lacets de Montvernier, situés en Savoie, constituent l’une des montées les plus saisissantes de France. Cette route sinueuse, longue de 3,4 km, compte 18 lacets serrés permettant de franchir un dénivelé de 277 mètres avec une pente moyenne de 8,2 %.
Construit en 1933 pour relier les villages de Montvernier et Montpascal, cet itinéraire est devenu incontournable pour les cyclistes, notamment après son apparition dans le Tour de France en 2015.
6. Valdrôme (Drôme)
La montée menant à la station de Valdrôme se situe dans la Drôme. Cette ascension de 7,1 km présente une pente moyenne de 8,3 % et un dénivelé de 589 mètres, avec des passages les plus raides à 14,8 %.
Située à 1 375 mètres d’altitude, cette montée offre un défi stimulant pour les cyclistes, avec des caractéristiques proches de celles de la Super Planche des Belles Filles.
7. Le col d’Izoard (Hautes-Alpes)
Le col d’Izoard, situé dans les Hautes-Alpes à 2 362 mètres d’altitude, est une ascension mythique du Tour de France, empruntée à 36 reprises entre 1922 et 2019.
Son sommet offre un paysage lunaire, caractérisé par des formations rocheuses uniques. Les plus grands champions, tels que Gino Bartali, Fausto Coppi, Louison Bobet et Eddy Merckx, y ont triomphé.
8. Le col de l’Iseran (Savoie)
Le col de l’Iseran, situé en Savoie, est le plus haut col routier des Alpes, culminant à 2 770 mètres. Il relie les vallées de la Maurienne et de la Tarentaise, entre Val-d’Isère et Bonneval-sur-Arc.
Cette ascension est un défi pour les cyclistes, avec des pentes moyennes de 4,3 % sur des distances variant selon le versant choisi. Le Tour de France l’a franchi à huit reprises entre 1938 et 2019.
9. Le col du Galibier (Hautes-Alpes/Savoie)
Le col du Galibier, à 2 642 mètres d’altitude, est une ascension mythique des Alpes, régulièrement incluse dans le Tour de France. Il peut être grimpé par deux versants : depuis Saint-Michel-de-Maurienne, avec une montée de 34,8 km et une pente moyenne de 5,5 %, ou depuis Briançon, plus courte avec 18,2 km à 7 % de pente moyenne.
Cette montée, réputée pour sa difficulté, offre un défi physique et des panoramas spectaculaires, attirant les cyclistes du monde entier.
10. Le col de la Tougnète (Savoie)
Le col de la Tougnète, inauguré en 2022, est rapidement devenu un défi incontournable pour les cyclistes. Situé dans le massif de la Vanoise, il culmine à 2 434 mètres d’altitude. L’ascension depuis Les Menuires s’étend sur 7 km avec une pente moyenne de 8,5 %, atteignant des passages à 17,5 %.
Pour les plus audacieux, une montée depuis Salins-les-Thermes offre 32 km avec un dénivelé de 2 000 mètres. Le « petit frère du col de la Loze », il attire les cyclistes en quête de nouveaux défis.